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MAI 1968 
ET LE PAYS QUI A BRISÉ LES RÊVES.
                                 (edition corrigée)

  50 ans passé dès qu’il a eu un vraie éclatement collective au niveau mondial d’un période de changement de paradigme avec des conséquences importants partout et pour tous! (…) 
 Ce qu’il est entrée, en fait, c’étaient pour des changements planétaires globaux qu’il prenait forme selon le lieu, culture et conscience individuel; mais ce qu’il s’est ouvert pourtant, ça étais en éveil pour tout une partie du monde réceptif au changement, ce qu’il représentait une confrontation de valeurs si formidable comme fascinant: ça étais l’éclatement des valeurs entre générations, la jeunesse du monde sans aucune masque contre le establishment…politique, social, culturel, éducationnel, etc. 
  C’est difficile d’exprimer pour ceux qu’on a vécu ce période consciemment, l’extraordinaire énergie, défi, et possibilités qu’il ce sont ouvert en ce moment! 
  À cet année là, j’avait 19 ans, et j’été en 2ème d’architecture; personnellement j’été très conscient du bombardement existentiel au moins en tant que activités, parce que en dehors des cours à la faculté, je devait travailler pour vivre, être participants et active dans quelque manière aux nouvelles politiques sociaux (d’où, l’inévitable militance politique dans quelque moment..), aller aux beaux-arts vespertine, m’initier aux nouvelles expressions d’arts visuels pour l’intégrer comme langage dans un tout (…). Faire face aux confrontation de valeurs, où au même temps d’être réceptive, il fallait se tenir loyal et firme avec les propos personnel face à une ouverture d’horizons existentiels si fascinant, comme nécessaire d’intégrer pour moi, de manière créative, et… ne pas se « envouter » dans les fabuleux « happening » externe (…). Je n’était pas heureusement si adolescent, je étais conscient des responsabilités, au même temps que assumer mon temps. 
  
Mais, au delà des événements particulières, locaux, du pays, et personnels, les changements des valeurs générationnels qu’il ce sont ouvert, les changements radicaux au niveaux des formes de participation citoyenne, avec tout ses excès; de politiques humaines, l’éveil notamment des nous, le jeunes de lépoque, avec l’entrée des nouveaux valeurs humains avec la démystification de l’amour, le sexe, le refus de la guerre, de l’insensibilité social, et…le début de préoccupations écologiques avec la considération de la nature humaine, les formes de consommation et le planète… il sont parti tous en ce moment là! ça fait 50 ans! jusqua... dans ce cas, lintervention militaire commandé par les Etâts Unis vers Chili; cause dun traumatisme collectif et individuel épouvantable. Il fallait vivre l'esprit du cycle des années, autour des mai 68, sans besoin d'être activiste politique, pour se rend compte de ce qui a été brisé dans le pays et peut être dans d’autres...

Ce qui est étonnant, c’est que l’univers fait récapituler actuellement exactement les mêmes choses…en autre niveaux, …soient déjà banalisés, oubliés, évolués dans un meilleurs niveau évolutive? (…) je ne sait pas, de tout. Personnellement je suis heureuse d’être une survivante d’une époque magnifique, où les idéals, se vivent dans quelque moment partout, au choix individuel et collective, il y avait de l’espoir, les choses se faisaient  dans un esprit et joie mystique. On sentait qu’on pouvait changer le monde vers un nouveau horizon de justice avec plus d’Amour et de Paix...jusqua le grand choc du coup militaire (...). 

Maintenant, partout, il y a des extraordinaires avancement techniques au niveau global…mais avec le risques que le vieux paradigme encore en pouvoir de la plupart du monde en grand détresse…il s’en fiche du destin global du monde (…)
C’est dans cet esprit, que maintenant je re-découvre un événement avec étonnement, et je voie l’extrême répercussion qu’il a eu dans l’évolution des choses, locales et mondiaux.
Pour cela je m’adresse à un événement qu’il est passé dans le pays considéré avant comme le pays de l’espoir, de la liberté, des rêves….les État-Unis de Norteamérique, et l’affaire: l’assassinât de Bob Kennedy. 
J’ai eût l’ occasion de voir le documentaire: « Bob Kennedy le rêve brisé de l’Amérique »( 2018 - France 3); transmission extraordinaire qu’il ma laissée…absolument écoeurée…
Comme un hommage, je veut rappeler encore une fois, seul quelques informations de celui que je considère comme un homme très avancé dans son temps, considérant que à sa mort il avait 42 ans, il avait encarné l’esprit, le langage des plus jeunes déjà de manière important, et les idéals du nouveau paradigme qu’il viendront à se profiler si clairement comme il le fait, des années plus tard.
Me voici le contexte:
Bob Kennedy mort assassiné le 6 Juin 1968; à deux mois de l’assassinat de Martin Luther King, et à cinq ans de l’assassinat de son frère John F Kennedy.

Charismatique candidat, Bob étais le plus probable du Parti démocrate aux élections présidentielles du 5 novembre 1968, il avait suscité beaucoup d’espoirs parmi les plus défavorisés du peuple américain. Encore en position d’outsider, il était en passe, par sa popularité, d’en être le favori et son élection aurait constituée une sorte de continuité avec la Présidence inachevée de son frère John. Considéré pourtant plus idéaliste, plus de gauche, intellectuel et progressiste pour le regard américaine. Partisan de l’abolition de la peine de mort, de la lutte contre la pauvreté, aux États-Unis mais aussi dans les pays en voie de développement de l’époque; opposé à la guerre du Vietnam, il est devenu le véritable porte-parole des tous les démunis de la Terre. Ainsi, l’un des hommes les plus écoutés et les plus talentueux parmi ses contemporains.


  Choqué par l’assassinat de Martin Luther King, le 4 avril 1968, Bob Kennedy a voulu rencontrer le jour même la population afro-américaine à Indianapolis pour leur apprendre la triste nouvelle et prononcer un discours improvisé et court sur la paix : « Martin Luther King a consacré sa vie à l’amour et à la justice entre ses semblables. (…) Il est peut-être bon de se demander quel genre de nation nous sommes et dans quelle direction nous voulons aller. (…) Nous pouvons aller (…) dans une plus grande polarisation (…), remplis de haine les uns envers les autres. Ou nous pouvons faire un effort, comme l’a fait Martin Luther King, pour comprendre, et pour expliquer, et remplacer cette violence, cette tache de sang qui s’est répandue à travers notre pays, par un effort de compréhension, de compassion et d’amour. ».
En terminant sur ce passage resté très célèbre : 
« Ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce n’est pas la division ; ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce n’est pas la haine ; ce dont nous avons besoin aux États-Unis, ce ne sont pas la violence et l’anarchie, mais l’amour, la sagesse, la compassion des uns envers les autres, et le sentiment de justice envers ceux qui souffrent encore dans notre pays (…). » (4 avril 1968).

  Du même que son frère John, la mort de Bob ça été couvert comme tant des autres crimes aux Etat Unis, avec de la farce, et du silence. Il y a une réseaux que domine toute possibilité d’éclairer les situations, et la plupart des gens préfère rester complice que s’exposer à ceux qui dominent depuis longtemps dans le pays…sous la menace et la peur vers ses propres vies. Ils sont les mêmes qui dominent actuellement toutes décisions tant à l’intérieur du pays que vers le monde. Appuyés par d’autres pays du monde... des mêmes propos politiques.  

  Du magnifique pays emblème du nouveau paradigme il ne restent que seul les grands initiatives individuels, des particuliers qu’il travaillent seul ou collectivement en grands réseaux planétaires…de manière libre et indépendantes. Les vieux système politique il domine, il est dans les mains des vieux valeurs du règne des prédateurs humains du planète entière. 



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