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REGARD GLOBAL


EXPLAINING THE EVIDENCE

Par rapport à 1990, selon l’ONU, quatre fois plus des personnes seront affectés par les pluies extrêmes et trois fois plus des personnes par les sécheresses.
Selon en nouveau rapport (journal anglais The Lancet), alors que la grande majorité des émissions de CO2 provient des pays du Nord, ce sont d’abord les pays du Sud qui vont souffrir du changement climatique.
L’Afrique, continent le plus touché, pour plusieurs raisons: fragilité de son système agricole et alimentaire, de son système de santé, de son système économique et de son système politique, lui rend peu résilient aux éventuels chocs climatiques. 
Conséquences:
sécheresses qui entraînent famines, crises sanitaires, violence social, migrations nationales et internationaux qu’il doivent être assumés pour les pays plus riche et industrialisés de la planète qu’il sont les plus grand producteurs de CO2 de la planète cause des dérèglements climatique.

Ainsi, le rapport système de production mondial, clima et migrations il sont étroitement liés.

Maintenant sachant l’effet de l’émission de carbone, avec l'utilisation des produit fossiles des système de production mondial, affectant tout l’écosystème planétaire de manière chaque fois plus inquiétants pour tous, il ce sont pris des mesures avec grand espoir: L’accord de Paris. Pourtant étant des propos non contraignant, ces accord deviennent illusoires. Me voici des indices révélateurs:

RÉALITÉ PRATIQUE DES ACCORD DE PARIS EN EUROPE (Mieux vaut pas savoir la réalité des autres..) 
Aucun pays européen ne parvient à améliorer ses actions en faveur du climat conformément aux objectifs fixés par l'Accord de Paris, ressort-il d'un classement relatif aux ambitions et progrès européens en matière de lutte contre le changement climatique. Si certains Etats comme la Suède obtiennent tout de même de bons résultats, la Belgique -en 16e position- fait figure de mauvaise élève, selon le baromètre dévoilé lundi par le réseau d'ONG Climate Action Network Europe (CAN).
   La première place du classement est inoccupée car aucun pays de l'UE n'est suffisamment performant en termes d'ambitions et de progrès dans la réduction des émissions de gaz à effet de serre, pointe Climate Action Network Europe. "Les pays peuvent et doivent faire davantage pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris." 
   Adopté en 2015 par près de 200 pays, ce traité vise à contenir le réchauffement climatique sous la barre de 2°C, voire de 1,5°C, par rapport à la période pré-industrielle. 
  Bien qu'elle ait encore du pain sur la planche en vue de réduire ses émissions et de promouvoir les énergies renouvelables, la Suède occupe la tête du classement avec 77% des points attribués, devant le Portugal (66%), la France (65%), les Pays-Bas (58%) et le Grand-Duché de Luxembourg (56%). Ces Etats plaident également en faveur d'objectifs climatiques plus ambitieux au niveau européen. 
A l'inverse, avec un score en dessous de la moitié, le Danemark (49%), l'Allemagne (45%), la Grande-Bretagne (37%) ou encore la Belgique (35%) noircissent le tableau. Ces pays "ne sont plus à l'avant-garde de la lutte contre le changement climatique et ils ont d'assez faibles objectifs malgré leurs relatives richesses", résume Climate Action Network Europe. 
   D'ici 2020, la Belgique doit réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 15% par rapport à 1990. Or, après avoir baissé, les émissions belges de CO2 sont à nouveau en augmentation ces dernières années. L'objectif relatif aux énergies renouvelables -une proportion de 13% d'ici 2020- ne sera pas non plus atteint: à un an et demi de l'échéance, la part de renouvelable s'élève à 8,7%.
"Notre pays doit faire mieux", estime Julie Vandenberghe, chargée des politiques Climat du WWF Belgique, membre de CAN. "Les risques liés au changement climatique deviennent progressivement une réalité. Nous connaissons des inondations, comme celles du mois dernier, mais aussi des tempêtes plus violentes, un recul de notre biodiversité ou encore une montée du niveau de la mer." 
A l'extrémité du classement, l'Estonie (24%), l'Irlande (21%) et la Pologne (16%) -pays hôte de la COP24- obtiennent les moins bons résultats en raison de leur ferme opposition à des actions pour le climat tant au niveau national queuropéen.
(Source: Belga)

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